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The "Olivieri Case" was a high-profile series of ethical disputes concerning multiple institutions and individual researchers involved in the clinical research on a new drug. The drug was developed during the mid-1980s to mid-1990s to treat an inherited, potentially fatal blood disorder called thalassemia. The initial dispute arose from an attempt to advise patients of potential side effects of Deferiprone (L1). It was subsequently compounded by oversights, mistakes and misjudgements by individuals, public institutions, a private corporation and inquiry panels. This case focuses on issues of research ethics and academic freedom so important to the public interest that it attracted national and international attention.

Ce cas est la suite du cas préparé en 1998 par Dominique Dorion et Richard Déry. La librairie Olivieri est maintenant installé sur la Côte-des-Neiges, à l'emplacement même qui a été occupé par les librairies Renaud-Bray et Champigny. Le bistro est populaire, mais les problèmes d'une librairie de fonds qui veut faire de l'animation littéraire restent entiers. Rina Olivieri est devenue une gestionnaire à plein temps et doit faire face à une professionnalisation de son rôle, tout en devant composer avec des employés de la première heure.

La librairie Olivieri est fondée à Montréal en 1985. L,entreprise réussit à se construire une solide réputation auprès d'un public spécialisé. En 1998, les difficultés qui touchent les librairies au Québec n'épargnent pas Olivieri. Les propriétaires se voient alors offrir une occasion de croissance. Ils en évaluent le risque à la lumière de l'histoire de l'entreprise et de sa mission fondamentale.