Dé-primes collectives (A et B)
Pilule inc., un important fabricant de produits pharmaceutiques, souhaite introduire un régime collectif de rémunération variable, communément appelé primes collectives, au bénéfice du personnel syndiqué de Montréal. Se réclamant d’un style « social, bienveillant, mais aussi “orienté performance” », le directeur de l’usine, Thierry Chmonfisse, souhaite récompenser la performance du groupe plutôt que le rendement individuel, et encourager la cohésion de ses équipes en leur permettant de profiter de la croissance de l’entreprise. D’autres membres de la direction estiment quant à eux que l’usine n’est pas assez performante et espèrent redresser la situation à l’aide de primes octroyées aux salariés en fonction des profits générés par l’entreprise et modulées au salaire. Sans surprise, sans s’opposer d’emblée à cette prime, la partie syndicale a une vision assez différente de ses modalités.
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