Cléo chez les Gaulois
Cléo commence un nouvel emploi à titre de conseillère en développement organisationnel et formation. Son premier mandat consiste à mettre à jour le programme de formation destiné aux nouveaux employés et à planifier son implantation, en collaboration avec les comités de direction des différentes usines de l’entreprise. Notamment, un module portant sur les compétences interpersonnelles et interculturelles doit être ajouté. La majorité des comités de direction coopèrent avec Cléo, à l’exception de celui de l’usine Résistatoux. En dépit de la stratégie de Cléo d’aborder avec une approche douce et compréhensive ce comité réputé pour son manque de collaboration, les deux premières rencontres sont marquées par la résistance des membres, tout particulièrement de la part du directeur administratif et financier, M. Smith. Bien que déstabilisée et blessée par leurs propos incohérents et critiques, Cléo réussit à se trouver un allié au sein du comité et un compromis est accepté. La formation est offerte pour une première fois, à la suite de laquelle Cléo propose qu’une rencontre soit organisée afin de discuter des améliorations à apporter au programme. Non seulement la réunion est reportée, mais elle apprend que cette dernière a finalement eu lieu sans elle. Ses relations difficiles avec le comité de l’usine Résistatoux et le succès mitigé de la formation préoccupent Cléo. Faisant preuve d’insistance, elle obtient la tenue d’une nouvelle réunion et elle prend l’initiative de la diriger. L’absence de M. Smith semble améliorer l’ambiance de travail. Les directeurs acceptent de mettre à l’essai les propositions de Cléo. Cette dernière est ravie, mais demeure sur ses gardes…