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Mot de la rédaction

Dans l’esprit des réjouissances de fin d’année, la RICG vous invite à l’opéra et au théâtre! Les deux premiers cas de cette dernière livraison de 2014 ont en effet pour cadre un organisme de renommée internationale, le Metropolitan Opera de New York et, en contrepoint, un théâtre débutant, Aux Écuries. Dans « Live from the Met : l’art lyrique entre dans le XXIe siècle », on retrouve un problème assez universel, celui du renouvellement d’un modèle d’affaires dans un monde en évolution sociale et technique; naturellement, le problème prend ici une coloration spécifique au domaine culturel. Hélas, ce dernier n’est pas à l’abri des considérations financières et la nouvelle stratégie doit en tenir compte. À l’autre extrémité de l’échelle (en termes de taille et de renommée), les conditions de réussite diffèrent quelque peu; le cas « Théâtre Aux Écuries – l’art de faire les choses autrement » permet de les explorer. Ce cas met en valeur une toute jeune entreprise de théâtre et les enjeux qui se posent lors d’une campagne de collecte de fonds majeure, enjeux que l’on retrouve, du reste, dans d’autres secteurs artistiques ou, de façon générale, non traditionnels.

Les deux cas suivants traitent d’affaires internationales, mais ici aussi les entités concernées se situent à deux extrêmes. « Nike versus New Balance : Trade Policy in a World of Global Value Chains » prend le point de vue d’un représentant du gouvernement américain pour aborder, à travers le secteur de la chaussure de sport, des questions de « nationalité » d’une firme et de correspondance entre ses intérêts économiques et ceux du pays, de libre-échange vs commerce équitable et de complexité des politiques commerciales dans un contexte de chaînes de valeur globales. À l’opposé, l’entreprise mise en scène dans « IT-Ration’s Quest for Growth : A Market Choice Challenge » n’est pas préoccupée par l’établissement de politiques commerciales globales, mais plutôt par un choix de stratégie de croissance qui lui est très spécifique et qui pourrait inclure une expansion internationale. À ce niveau « micro », et dans cette industrie (solutions logicielles pour PME), les défis qui se présentent sont ceux de la reconnaissance de la marque, de la levée des barrières à l’entrée et de la sélection d’un mode d’entrée spécifique sur le marché étranger considéré (ici les États-Unis).

La présence du 5e cas, « La congrégation des Sœurs de Saint-Aubin (A, B et C) », peut surprendre de prime abord, mais beaucoup moins dès qu’on se rappelle que toute organisation, qu’elle soit à but lucratif ou à but non lucratif, fait face à la nécessité de recruter du personnel. Ce cas permet à des étudiants de 1er cycle de passer de façon appliquée à travers les étapes du processus de dotation en personnel. Ces étapes sont communes à toutes les organisations et, en ce sens, la portée du cas est générale, même s’il est particulièrement pertinent pour les organismes à but non lucratif (enseignement, santé, etc.) et pour les PME.

Avec « Le Groupe immobilier Zacharie », nous partageons les interrogations d’une société qui envisage un premier appel public à l’épargne et doit, de ce fait, passer de son référentiel de comptabilisation actuel aux normes internationales (IFRS). Le cas permet d’aborder plusieurs subtilités des IFRS entourant la comptabilisation des immeubles.
Le numéro se termine sur une histoire de vie, celle de « Léon Courville, l’homme qui plantait des vignes ». Le cas décrit le parcours atypique d’un leader et permet une réflexion sur la manière dont les évènements personnels et professionnels peuvent forger ou cristalliser l’identité, les valeurs et le style de leadership d’une personne.

Je conclus cette note en annonçant que le 31 décembre 2014, je céderai le rôle de rédactrice en chef de la RICG à la professeure Anne Mesny. Vous vous rappelez certainement qu’elle assumait cette responsabilité avant moi et qu’elle le faisait avec brio. Donc, je laisse la Revue entre de bonnes mains, sans crainte aucune!

Alix Mandron