Femmes dans les postes de gestion : le plafond de verre est-il un mirage?
Onix, une entreprise bien implantée au Québec et au Canada, est aux prises avec une crise qui risque d’endommager son image de marque. Une photo du comité de direction, composé d’hommes à l’exception de la directrice des ressources humaines, est devenue virale. Celle-ci a suscité de nombreux commentaires négatifs sur les réseaux sociaux et a donné naissance au hashtag « déciderentrehommes ». Confrontés à une crise d’image, les dirigeants se questionnent. Pour la première fois en plus de vingt ans, ils réfléchissent à l’équité entre les genres.
D’une part, Gilbert Marcotte, fondateur de l’entreprise et PDG, semble minimiser le problème. Il y voit une tempête dans un verre d’eau, car l’entreprise a toujours été ouverte aux femmes dans les postes de direction. Il demeure toutefois conscient des risques liés à l’image et à la réputation. D’autre part, la vice-présidente RH, Isabelle Bouvier, y voit une occasion de faire des avancées quant à un enjeu jamais abordé. La prochaine rencontre du comité de direction se consacrera à la préparation d’une stratégie pour contenir et résoudre la crise.
Ce cas vise à :